Les circonstances particulières de commande de cette œuvre, et les conditions en quelque sorte tragiques de son écriture, sur le lit de mort de son auteur, en alimentent la légende. En juillet 1791, le comte Walsegg-Stuppach, sous le sceau du secret, commanda un Requiem à Mozart pour sa femme, morte en février. Le travail fut différé en octobre, dû au surmenage que connaissait le compositeur pris par la Clémence de Titus et par la Flûte Enchantée.
A la mort de Mozart, le Requiem restait une œuvre inachevée. Dans la phase finale de sa maladie, Mozart avait écrit l’intégralité du « Requiem aeternam »